Auxiliaire de vie sexuelle, qu'est-ce qu'on attend ?
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Malade et fonctionnelle quoi ! C' est pas incompatible, la preuve. (profits astronomiques des GAFAM à partir de mars 2020 par ex avec des populations malades ... sur plusieurs plans).
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Malade, fonctionnelle et qui n’a surtout pas envie de guérir…
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Si c' est elle qui le dit, faut il aller contre la volonté du malade ?
Acharnement thérapeutique ? -
Non t’as raison, il faut lui tenir la main et l’encourager à continuer…
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Tenir la main à l' auxiliaire de vie sexuelle ? Et l' encourager à continuer de l' autre main ?
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Chouette que tu recentres sur le sujet du topic -
C’est marrant j’avais hésité avec cette réponse :
« Non t’as raison, il faut lui tenir la b… et la féliciter de son bon fonctionnement. »
Mais je me suis dit que ça faisait mauvais genre. -
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Bon en tout cas j’espère que ce topic aura fait naître quelques vocations pour un mieux vivre ensemble futur !
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Ouais je suis allé voir les tarifs des escort girls grâce à ce topic.
Le fait est que c'est quand même achement plus cher qu'une branlette devant un porno (ça doit être achement mieux aussi).
Après y a prono et porno, on est d'accord. -
Le fait est que c'est quand même achement plus cher qu'une branlette devant un pornoo
J’avais pas pensé à cet aspect là. Mais le porno est-il forcément obligatoire pdt la branlette ?
(Ils faisaient comment les anciens quand y’avait pas la télé ? ) -
Pas dans l'absolu. Je pense qu'avec un ré apprentissage de la branlette à l'imagination on devrait pouvoir s'en sortir.
Mais ça va être un challenge aussi péchu que de stopper le sucre.Avant c'était les photos. La catalogue la redoute entre autres.
Les plus anciens j'en sais rien... -
Les plus anciens j'en sais rien...
Ils avaient peut-être un peu moins le temps…
Et la vie humaine était moins hors-sol. -
Moins le temps pour la branlette ?
J'y crois pas une seule seconde.
Le temps ça se prend. -
@Loposum Tu mets le doigt dessus, recabler neurologiquement le désir au milieu du déluge d' images orientées/formatées et qui deviennent condition sine qua non en même temps que contexte pour l' acte est plus difficile que de transformer des méditants/hermites/renoncants en tueurs en série priapiques.
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Nous sommes tellement faiiible
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J'ai vu un reportage la dessus c'était presque touchant jusqu'à temps qu'il dise ses tarifs. C'est vraiment comparable à la prostitution malheureusement. En tout cas ça répond au même problème. C'est moins glauque et plus safe quand il y a un emballage et un cadre "thérapeutique" mais faut bien admettre que c'est la même chose.
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Ces gens disent des trucs conséquents au sujet du sexe marchandise. Elles sont mal vues par le feminisme dominant, je ne sais pas même si elles sont encore actives, mais elles m'ont appris des trucs
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Merci @funge j’irai lire ça, quand j’aurai fini TOUT ce que j’ai à faire AUJOURDHUI
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Ces gens disent des trucs conséquents au sujet du sexe marchandise. Elles sont mal vues par le feminisme dominant, je ne sais pas même si elles sont encore actives, mais elles m'ont appris des trucs
@funge a dit dans Auxiliaire de vie sexuelle, qu'est-ce qu'on attend ? :
Elles sont mal vues par le feminisme dominant
Peut-être parce qu'elles étaient proches de Stern à un moment donné et qu'elles ont des takes transphobes.
Franchement, il y a sûrement plein de gens pertinents à lire sur le sujet, mais je doute que le CAPP soit en haut de la liste.
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Bon.. j’ai lu, déjà j’ai tiqué sur la bannière « abolition… » mais j’ai poursuivi par respect pour ta personne !
Je ne suis pas convaincu du tout…
Je ne retiendrai que ça :Nous ne pouvons souscrire à une telle idée car si le sexe est un désir, une liberté, ce n’est pas un droit. S’il venait un jour à être reconnu, il vaudrait pour tout le monde et pas seulement pour les personnes handicapées.
Et ce passage m’a fait rire même si c’est pas drôle…
Soit l’assistance sexuelle serait gratuite, ou rémunérée à titre symbolique, ce qui équivaudrait à une quasi gratuité.
Dans ce cas, il s’agirait d’un acte de charité, de bienfaisance. Les volontaires seraient persuadés de faire une bonne action qui les grandirait. Ils seraient prêts au « sacrifice suprême ».
Se poserait alors la question de la sélection et de la motivation des volontaires : si ce n’est pas pour gagner de l’argent, comment éviter que des personnes qui s’engageraient dans une formation d’assistant sexuel ne le fassent dans le seul but d’utiliser des personnes handicapées comme objets de leurs fantasmes sexuels ?
Certaines personnes mal dans leur propre sexualité pourraient chercher à se rassurer à travers nous. Ce qui n’a rien de valorisant et pourrait s’avérer dangereux…